L'imposition des revenus des non-résidents

RÉDIGER : L’acte notarié français dans un contexte international

L'acte authentique et l'institution de l'authenticité

Le statut du notaire et de l'acte authentique notarié selon le droit européen

Préparation et rédaction de l'acte : enjeux et méthodologie

La circulation internationale de l'acte

La fiscalité internationale

Rémunération et protection sociale : les enjeux de l'international

Les trusts

L'assurance vie dans un cadre international

L'imposition des revenus des non-résidents

Les revenus des non-résidents sont imposables le plus souvent et par simplicité sous la forme d'une retenue à la source, avec parfois un caractère libératoire, c'est-à-dire que le prélèvement est une imposition définitive.
Techniquement, certains revenus sont à inclure dans l'assiette imposable (§ I), alors que d'autres ne le sont pas (§ II) : le calcul de l'impôt est alors réalisé selon les règles de droit commun applicables en droit interne avec toutefois un taux minimum de 20 % jusqu'à 27 519 € et 30 % au-delà L. fin. 2019, art. 13. (§ III).
Les revenus à inclure dans l'assiette de l'impôt sur le revenu
Il s'agit principalement des revenus fonciers français et de ceux de type «Bénéfices agricoles» / «Bénéfices industriels et commerciaux» / «Bénéfices non commerciaux» provenant d'une entreprise située en France.
Les revenus à ne pas inclure dans l'assiette imposable
Les revenus concernés sont ceux qui sont exonérés et ceux qui ont été soumis à une retenue à la source ou à un prélèvement libératoire.
Comment se calcule l'impôt du non-résident ?
Le non-résident doit déclarer ses revenus de source française selon les mêmes règles que les résidents. On applique le barème de droit commun et du quotient familial 1529158260899.