La confiance

La confiance

La sécurisation de la pratique du contrat numérique
Sur le plan juridique, la confiance peut se définir comme la croyance en la bonne foi, loyauté, sincérité et fidélité d'autrui ou en ses capacités, compétences et qualifications professionnelles G. Cornu, Vocabulaire juridique, PUF, coll. « Quadrige », 13e éd., 2020, Confiance, p. 227. . Appliquée au contrat, la confiance est un puissant facteur d'exécution des obligations contractuelles, partant de sécurité juridique entre les contractants. Il est ainsi toujours plus sécurisant d'établir une relation avec une personne que l'on pense exécuter ses obligations avec loyauté, sincérité et fidélité. Une confiance réciproq... Lire
La confiance des contractants menacée par les technologies numériques
Par l'usage des nouveaux outils numériques, la confiance technologique et technique vient concurrencer la confiance humaine. Néanmoins, les caractéristiques techniques de ces nouvelles technologies n'offrent pas toutes les mêmes garanties de sécurité juridique (Chapitre I) . Il en va de même pour la régulation juridique naissante de ces outils, aux effets disparates sur la confiance des contractants (Chapitre II) .
La confiance des contractants augmentée par les professionnels du droit
Les nouvelles technologies sont à l'origine d'enjeux politiques, économiques, sociaux, fiscaux… considérables. La sécurité juridique apportée par les nouvelles technologies numériques ne semble pas satisfaire pleinement ses usagers V. supra, no . . L'intervention d'une tierce personne apparaît aujourd'hui comme une solution pour améliorer la sécurité juridique attendue des contractants. Les tiers de confiance évincés d'hier vont chercher à trouver une place dans le monde numérique d'aujourd'hui.