Les éléments d'extranéité ayant trait à la résidence et à la nationalité des héritiers (autres que mineurs et majeurs vulnérables) n'ont civilement pas vocation à induire un raisonnement de droit international privé.
Il convient de signaler ici qu'il en va tout autrement lorsque l'on aborde l'aspect de la fiscalité applicable à la succession, ce qui sera développé dans le titre II infra.
De façon à aider le praticien à anticiper la nécessité d'un raisonnement de droit international privé successoral, il est proposé le tableau synoptique ci-après.