Le rachat, sous réserve de l'application des conventions internationales, est soumis ou non aux prélèvements libératoires tel qu'il a été expliqué ci-avant, en fonction des produits attachés aux primes versées avant ou après le 27 septembre 2017.
Il s'agit des mêmes taux que pour les résidents, sans les prélèvements.
Pour les non-résidents, il n'est pas possible d'opter pour le barème progressif de l'impôt sur le revenu et ils ne bénéficient pas des abattements pour les rachats au-delà de huit ans : 4 600 € pour un célibataire et 9 200 € pour un couple.