– Les externalités positives favorisent les projets durables. – L'adaptation des territoires, et plus encore des villes au changement climatique suppose de favoriser les externalités positives des projets. Plusieurs raisons à cela : le ZAN et le renouvellement urbain, la réintégration de la nature dans la ville, le développement des énergies renouvelables.
La sobriété foncière oblige à repenser l'urbanisation sur des fonciers très contraints et à favoriser le renouvellement urbain ; or, faire avec le « déjà là » suppose qu'un nouveau projet intègre l'existant pour l'améliorer. De nombreuses publications d'architectes-urbanistes promeuvent la réintégration de la nature dans la ville avec des réflexions sur la place et le rôle de l'arbre, de l'eau et des énergies renouvelables.