– La responsabilité du dirigeant à l'égard de la société et des associés. – Elle peut être engagée dans les hypothèses suivantes :
- infraction aux dispositions législatives ou réglementaires ;
- non-respect du pacte statutaire ;
- faute de gestion.
Le principe veut que la société engage elle-même, ou par la voie d'un mandataire judiciaire ou d'un liquidateur judiciaire, l'action visant à réparer le préjudice que la société a subi. Mais on comprendra aisément que le dirigeant ne sera pas nécessairement enclin à engager au nom de la société qu'il dirige une action contre lui-même.