- les services d'approvisionnement : les contributions matérielles de la nature aux sociétés et biens produits par les écosystèmes ; les matières premières par exemple ;
- les services de régulation : cycles et processus biophysiques qui maintiennent des conditions favorables à la vie sur les écosystèmes terrestres et marins ; le cycle du carbone par exemple ;
- les services culturels : les avantages immatériels que les populations obtiennent des écosystèmes.
– La notion de services écosystémiques (SE). – Cette notion apparaît dans le texte de l'article L. 110-1 du Code de l'environnement : « Les espaces, ressources et milieux naturels terrestres et marins, les sons et odeurs qui les caractérisent, les sites, les paysages diurnes et nocturnes, la qualité de l'air, la qualité de l'eau, les êtres vivants et la biodiversité font partie du patrimoine commun de la nation. Ce patrimoine génère des services écosystémiques et des valeurs d'usage ». Ces services peuvent être définis comme les bénéfices que les sociétés retirent des écosystèmes. On distingue communément trois catégories :