Plutôt que chercher à se faire assister ou représenter dans les opérations numériques, la personne frappée d'illectronisme peut, dans le cadre d'activités dont l'essence même n'est pas digitale, essayer de se passer du numérique.
S'il appartient aux opérateurs ou entrepreneurs privés d'arbitrer eux-mêmes la question de la digitalisation totale ou non des services qu'ils proposent, la situation n'est pas la même pour les administrations.