Dans cette configuration particulière, le salarié impatrié peut annuellement opter :
- soit pour un plafonnement global des exonérations accordées(primes d'impatriation et fraction de la rémunération correspondant à l'activité exercée à l'étranger) à hauteur de 50 % de la rémunération totale (rémunération de l'activité exercée à la fois en France et à l'étranger) ;
- soit pour une limitation de la fraction de rémunération exonéréecorrespondant à l'activité exercée à l'étranger définie à hauteur de 20 % de la rémunération imposable au titre de l'activité exercée en France (c'est-à-dire rémunération hors prime d'impatriation). Dans ce cas, pas de limite pour l'exonération de la prime d'impatriation sauf salaire net comparable.