En droit interne

RÉDIGER : L’acte notarié français dans un contexte international

L'acte authentique et l'institution de l'authenticité

Le statut du notaire et de l'acte authentique notarié selon le droit européen

Préparation et rédaction de l'acte : enjeux et méthodologie

La circulation internationale de l'acte

La fiscalité internationale

Rémunération et protection sociale : les enjeux de l'international

Les trusts

L'assurance vie dans un cadre international

En droit interne

– En droit interne. – L'arbitrage en droit interne n'étant pas le sujet de la présente étude, il ne sera évoqué que brièvement.
Dans le passé, le domaine arbitrable en droit interne était restreint. En effet, avant 2001 l'arbitrage était interdit en matière civile.
La loi n° 2001-420 du 15 mai 2001 sur les nouvelles régulations économiques, dite «loi NRE», a étendu son champ d'application aux contrats conclus à raison d'une activité professionnelle (antérieurement la clause compromissoire n'était utilisable qu'en cas de litiges entre commerçants). Puis le décret du 13 janvier 2011 a réformé le droit français de l'arbitrage en y insérant les acquis de la jurisprudence. Mais c'est surtout la loi du 18 novembre 2016 de modernisation de la justice duxxi esiècle, dite «loi J21», qui a élargi son domaine en l'étendant au règlement des litiges entre non-professionnels ainsi qu'en dispose l'article 2061 du Code civil.
Le Code civil a donc posé le principe de validité de la clause compromissoire 1543597562755. La partie qui n'a pas contracté dans le cadre de son activité professionnelle pouvant toutefois refuser de s'y soumettre 1543597500285, on parle désormais d'opposabilité de la clause compromissoire.
Dans les faits, on constate que l'arbitrage interne évolue en se rapprochant du mode de fonctionnement de l'arbitrage commercial en droit international.
La France ayant adopté un régime juridique dit «dualiste» entre l'arbitrage interne et international (tel n'étant pas le cas de tous les pays), le régime juridique de l'arbitrage international est alors propre.
Il faut retenir que les textes qui intéresseront l'arbitrage international sont les articles 1504 à 1527 du Code de procédure civile, et les articles relatifs à l'arbitrage interne applicables à l'arbitrage international en vertu de l'article 1506 du Code de procédure civile.
Le cédant d'un droit réel immobilier ou d'un bien situé à l'étranger s'attend à l'existence d'une imposition au titre de la plus-value au profit de l'État de localisation de l'immeuble : il a le réflexe de s'interroger sur l'obligation de paiement de cet impôt et de ces modalités. Le vendeur ne doit pas s'imaginer que celui-ci est exclusif et qu'il créeipso factoune exonération en France.
Ce mécanisme n'est pas particulier aux plus-values, mais s'applique également pour la généralité des revenus (cf. par ex. le revenu foncier, étudiéinfra, n°).
En droit interne, il est fréquent que le principe de l'imposition au profit de l'État du lieu de situation des immeubles soit posé. On comprend aisément cette position, la plus-value ayant pour source le territoire du pays de son implantation. Il existe toutefois desexceptions et le fiscaliste se doit de procéder à un examen détaillé du régime fiscal applicable dans l'État d'implantation du bien.