Le smart contract versus le droit des contrats
Le smart contract versus le droit des contrats
Les entraves à l'exécution du contrat
L'inexécution imputable au débiteur
À terme, le risque est d'aboutir à la standardisation et à la systématisation des sanctions.
Compatibilité du avec les exigences légales entourant les sanctions de l’inexécution
Les entraves non imputables au débiteur
Une exécution automatique sans discernement de la réalité des faits
L'imprévision
L'imprévision chez nos voisins européens
Automatiser l'obligation de renégociation
L'utilisation d'un oblige les parties à prévoir l'imprévisible.
L’évolution jurisprudentielle de la théorie de l’imprévision
La force majeure
- soit les conditions prévues au smart contract ne sont pas réalisées. La seconde variable du programme s'active et le débiteur considéré comme défaillant est sanctionné automatiquement ;
- soit les conditions prévues au smart contract sont réalisées mais le dysfonctionnement suspend l'exécution du programme. La continuation automatique du contrat à la fin de l'incident peut avoir lieu alors qu'elle n'est plus souhaitée par les parties.
La place du juge dans le contrat
Le smart contract et les standards juridiques
Objectiver la bonne foi notamment reviendrait à stéréotyper une attitude et à standardiser des situations.
L’algorithme à l’épreuve des standards juridiques
Les pistes de réflexion pour gagner en souplesse d’exécution
Souplesse des standards juridiques rigidité du
Le smart contract et l'office du juge
La désintermédiation consolide l'objectivité garantissant elle-même la sécurité juridique. Mais la réalité est souvent plus complexe.
Le droit commun épouse une appréciation profondément humaine du contrat.