– La charte des
family officers
. – L'Affo, en l'absence de cadre légal, est l'auteure d'une charte dont les maîtres mots sont : expertise, responsabilité, pérennité, confidentialité, engagement, probité.
Les points de convergence
Les points de convergence
– Le notaire : un candidat de choix. – L'activité de family office ne peut être exercée, indubitablement, qu'en respectant scrupuleusement les lignes directrices énoncées dansla charte de l'Affo, reprise ci-dessus. Ce point ne souffre aucun débat et le législateur luxembourgeois, on le rappelle, en limitant l'accès à cette activité à certaines professions réglementées, dont les notaires, a clairement adopté cette même posture.
Le notaire, officier public, est un candidat idéal à la fonction de family officer.
En tant qu'officier public, délégataire de l'État, il est soumis à des règles déontologiques étroitement encadrées.
Le notaire est impartial et indépendant : il n'a rien à vendre.
Le notaire est astreint à un devoir de conseil et de conservation des actes qu'il reçoit. Le secret professionnel qui lui incombe est le corollaire indispensable à l'accomplissement de sa mission de conseil.
Enfin, il est assuré dans l'exercice de ses fonctions.
– La démarche. – Quotidiennement, à la façon d'un family officer, nous conseillons nos clients pour les aider à optimiser la gestion de leur patrimoine, à transmettre de génération en génération le fruit de leur travail ou de leur épargne, à pacifier les relations familiales, à anticiper d'éventuels conflits ou d'éventuelles difficultés.