– Un amour fragilisé. – Lorsque la voiture s'est démocratisée, l'homme n'a pas immédiatement appréhendé toutes ses contraintes. Mais, au fil des décennies, ses défauts s'exacerbent, laissant au chauffeur le choix souvent impossible de les supporter ou de se séparer de la machine.
Ce désamour est lié au nombre de véhicules en circulation (§ I) et à l'augmentation des coûts liés à la voiture (§ II).