4126 Si l’écrit est le moyen le plus efficace pour veiller à la protection de l’existence d’un acte juridique et, partant, de l’engagement pris par un débiteur envers son créancier (Chapitre I), il convient, une fois l’acte juridique avéré, d’en assurer la bonne exécution dans un souci de protection du créancier (Chapitre II).